Dominique Bensi a suivi, depuis 2014, des groupes de marins-pêcheurs de Barfleur dans leurs chalutiers. « Je rêvais de faire une marée ! ».
Sur le pont, Dominique Bensi n’a droit qu’à trois endroits en raison de la dangerosité du matériel, « sinon, c’est tellement violent, des morceaux de ferraille de plusieurs tonnes vous passent à côté des oreilles. On ne peut pas dire aux marins ‘attends, je te prends en photo’ ! C’est une vie de dingue car la moindre erreur est fatale. » Il y a une sorte de pudeur autour des accidents d’après lui : « Vous ne pouvez pas monter là-dessus tout en pensant que vous pouvez en avoir… »